Quand on commence à sentir les premiers motifs se former dans notre tête, on a souvent très envie de partager.
Il faut bien être conscient qu’alors on transmet en majorité soi et très peu, ou mal, l’extérieur qu’on vient juste d’internaliser, et sur lequel on risque fort de ne pas avoir le recul.
Quand les motifs se combinent et commencent à s’approcher du très abstrait, là on peut être tenté d’avoir la flemme de transmettre car alors on peut se dire :
À quoi bon ?
Comment combler le fossé entre la maîtrise, l’expertise et le noviciat ?
Si la matière de transmission vient droit du un, l’envie désintéressée (ou intéressé par le bien du tout) sera là.